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1 livre, 1 café – L’empreinte de toute chose d’Elizabeth Gilbert

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Pour ce livre, sans hésiter, je vous propose un Latte-Vanille avc une touche de caramel et noisette. Oui oui, je sais, avec ce livre je dois balancer du lourd.

J’avais vu le film tiré du livre Elizabeth Gilbert, Eat Pray Love, et… Je n’avais pas vraiment été touchée plus que ça par le film. Mais quand on m’a offert ce livre; j’ai décidé que c’était le bon moment de changer d’avis !

Et j’ai bien fais !

9782253194347-TAlma Whittaker naît avec le XIXe siècle, à Philadelphie, d’un père anglais qui a fait fortune dans le commerce du quinquina et d’une mère érudite d’origine hollandaise. À leurs côtés et au contact des éminents chercheurs qui gravitent autour d’eux, Alma acquiert une intelligence éclectique et la passion de la botanique. Elle grandit animée d’une soif d’apprendre sans pareille, qui la poussera à explorer le vaste monde, la nature, la société dans laquelle elle vit… et son propre corps – de l’infiniment grand à l’infiniment petit. L’auteur du best-seller Mange, prie, aime nous raconte ici, des bas-fonds de Londres en passant par Tahiti ou les cimes des Andes, le siècle kaléidoscopique qui voit jaillir l’esprit des Lumières. Sa plume est vive, insolente, savante et non dénuée de romantisme : à l’image de son héroïne.

Vous pouvez trouver les premières lignes du livre dans CET ARTICLE.

Au début, j’avais un peu peur vu le nombre de page. Je me suis demandée comment l’auteur allait nous occuper aussi longtemps avec notre pauvre Alma… mais Alma grandit et rien ne se passe comment on peut s’y attendre et c’est ce qui fait la force de ce livre. C’est un livre anti-cliché. Les jolies blondes ne sont pas stupides, les amoureux ne finissent pas toujours ensemble, les mères ne sont ni trop bonnes ni trop cruelles. Rien de tout ça.

Elizabeth nous mène dans une histoire qui finit par nous sembler très réaliste. Grace au parcours d’Alma, on découvre la condition des femmes, des pauvres, des familles, sans jamais tmber dans la critique pure et dure: les faits étaient comme ça dans au XIXème siècle. Point barre.

Mine de rien, ce livre est une hymne à la vie. Il nous rappelle qu’il ne faut jamais désespérer et que les choses sont rarement comme elle semble etre de l’extérieur, qu’il faut souvent voir une situation dans le détail pour en comprendre toutes les implications.

Et pui c’est un livre qui nous fait voyager. On passe des jardins verts de Philadelphie, aux iles du pacifique pour finir dans le Nord de l’Europe, sans meme s’en rendre compte !

Je ne sais pas si vous avez la meme opinion que moi mais j’ai l’impression que les livres SAGA sont de plus en plus à la mode. On ne suit plus les personnages sur un court laps de temps mais désormais, on les suit sur toute une vie, on les voit naitre et devenir vieux. Quand on finit la dernière page, c’est comme si on disait adieu à un ami.

Vous etes du meme avis que moi ?

 

12 réflexions au sujet de “1 livre, 1 café – L’empreinte de toute chose d’Elizabeth Gilbert”

  1. Le film Mange prie aime est une très mauvaise adaptation, je ne crois pas avoir déjà lu ou entendu qui que ce soit en dire du bien. Mais le bouquin vaut le coup, j’ai également adoré Big magic d’Elizabeth Gilbert où elle évoque ce qui l’a inspirée pour écrire L’empreinte de chaque chose… Je n’ai pas encore osé me lancer dans sa (longue) lecture mais ça me tente beaucoup !

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  2. Ce roman m’intrigue.
    Je ne sais pas si c’est une question de mode, mais il est vrai que, plus jeune, à la bibliothèque, il n’y avait pratiquement que des romans en un tome. Désormais, il y a beaucoup de séries. L’avantage est que les personnages et l’univers peuvent être bien développés, mais ça sent aussi un peu le commercial, comme pour les mangas : tant que ça marche, publions… Je ne sais pas trop quoi en penser.

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    1. Alors là pour le coup c’est pas en plusieurs tome mais ça fait plusieurs roman de suite que je me retoruve avec la vie d’une famille ou d’un personnage mais sur de très nombreuses années. Je n’ai pas l’impression que ça ait été autant le cas dans le passé.

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      1. Ah, le côté « tranche de vie » qui devient peu à peu « vie » ? Je ne sais pas, je n’ai pas vraiment l’impression. Peut-être aussi cela dépend de nos lectures, qui changent plus ou moins au fil du temps ?

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  3. Justement moi j’avais aimé mange prie aime et j’avais aimé le film par contre j’avais pas aimé la suite qui parlait trop du mariage et avait trop de reflexions. Celui là pourquoi pas oui! Et le latte alors là oui compte sur moi!

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